Hé bien, c'est la version "Rupture Conventionnelle" du RMiste! Avec le très grand nombre de RC "gentiment" proposées, surtout aux plus de 45 ans, on pourait croire que c'est "le pactole"...
Nous ne pouvons que recommander à nos lecteurs un maximum de vigilance et de porter à leur connaissance que les clauses "d'assurance perte d'emploi' pour les prêts immobiliers ne jouent bien souvent pas... car dans le cadre du Code des Assurances, la perte d'emploi n'est nullement subie car acceptée après négociation par le signataire, qui ne peut d'ailleurs pas produire de "Lettre de Licenciement" puisque c'est une convention signée par les deux parties.
Bien entendu, il y a autant de situations particulières qu'il y a de cas, donc, notre conseil est de bien lire ses clauses d'assurances avant de foncer sur une RC a priori mirobolante...
En effet, dans le cas des prêts immobiliers, beaucoup d'entre nous engagent jusqu'à 30% voir 33% de son salaire mensuel net. Après une RC, tant qu'on a pas retrouvé de job, le revenu est de 57% du brut moins les charges sociales: il est clair que mathématiquement, l'intéressé bascule dans des taux qui conduisent rapidement au surendettement, jusqu'à devenir RCiste!
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